Assez simple et bien résumé par l’ingénieur agronome François Margot, pour qui les organisations niant l’alarmante baisse de la biodiversité sont comparables aux compagnie pétrolières qui propageaient le climatoscepticisme.
«Si la biodiversité se porte bien alors il n’y a rien à craindre d’une initiative qui veut simplement inscrire sa protection dans notre Constitution fédérale. Et si ce n’est pas le cas, discuter des faits serait plus responsable que de partir en guerre sous l’étendard d’arguments fallacieux.»
Article original: La paysannerie prise en otage - Le Temps