A vélo sans Strava, c'est cool

Digital detox et méditation à vélo – Social Cycling:

Dès la première sortie, le changement est évident. Rouler sans GPS, sans l’omnipresence de l’écran et des ses données me permet de laisser plus de place à tous mes sens.

Perso, j’ai aussi une relation compliquée avec Strava. En 2012, je l’avais viré.

Puis réactivé plus tard. Aujourd’hui, mes sorties sont en principe « privées » et j’utilise surtout RidewithGPS, aussi en « privé ». Pour me souvenir, pas tant pour faire la course quand ce n’est pas une course ;-)

Joakim Faiss @jokef