On savait que les prix de pas mal de choses étaient adaptés, selon les pays, à la capacité financière des consommateurs. Mais grâce à la biographie de Steve Jobs, on découvre que les Italiens sont plus pauvres que les Grecs et que les germanophones sont mieux lotis que les anglophones. Les plus riches sont clairement les francophones.
Et on parle uniquement des versions électroniques. Rien à voir avec la beauté ou non du papier et de la reliure.
Donc si vous lisez l'italien, vous pouvez vous acheter deux bouquins (et même un peu plus) pour le prix d'un seul en français.
Les profs de maths devraient même pouvoir s'en inspirer pour quelques problèmes qui vont nous changer des trains qui partent à des heures différentes et qui circulent à des vitesses variables...