La Toscane à vélo… Grand beau pour l’Eroica à vieux vélos. Un peu moins trois jours plus tard…
La Toscane à vélo… Grand beau pour l’Eroica à vieux vélos. Un peu moins trois jours plus tard…
Edelweiss, souvenir de la balade en montagne pour les 80 ans de mon père.
Eroica Gaiole 2024, une bien belle édition.
Avec deux stars à 2 minutes dans la vidéo 😘On the beach 🏝️ Isola d’Elba.
Ti amo
Des protocoles internes le montrent: les dommages environnementaux causés par le trafic sont nettement plus importants que prévu. Jusqu’à présent, les coûts induits par le trafic automobile ont été sous-estimés, ce qui provoque une certaine nervosité au sein du département Rösti.
En chiffres absolus, c’est toutefois le trafic routier motorisé qui pèse le plus lourd dans la balance. Ses coûts externes augmentent de 60%, passant de 10,8 milliards de francs à 17,3 milliards.
Le trafic motorisé nous coûte une blinde, mais pour certains ce n’est pas assez. Ils veulent davantage d’autoroutes et de bagnoles.
Article original: Kostenschock im Autoverkehr: Neue Zahlen beeinflussen Autobahn-Abstimmung
La route de la honte… Aujourd’hui, j’ai pris la transversale Fully -Saxon par le pont autoroutier à une douzaine d’heures d’intervalle. Eh bien c’est aussi honteux à 6h du matin qu’à 18h… Aucune sécurité, mais vraiment aucune pour les personnes à vélo. Honteux.
M’informe que j’ai perdu un KOM pour 14 secondes. En même temps, tu peux faire quoi face à un type qui roule à 104,9 km/h?
Ce qui se passe quand on confie des services public au privé, qui doit enrichir des actionnaires...
En Angleterre, seuls 15% des cours d’eau sont en bonne santé écologique. Aucun ne contient des produits chimiques à un niveau acceptable
Article original: Au Royaume-Uni, l’eau des égouts finit trop souvent dans les rivières - Le Temps
«les compagnies des eaux se sont endettées à l’excès, tout en reversant d’importants dividendes à leurs actionnaires et des bonus à leurs directeurs»
La presse va mal, paraît-il, même si, alors que j'y travaillais, je n'ai jamais entendu que ça allait bien. Alors que ça allait bien, pour les actionnaires. Mais passons.
La publicité se réduit dans les journaux imprimés et rapporte moins sur le web. Certes. C'est oublier que certains éditeurs ont créé, ou racheté, des sites de petites annonces qui leur rapportent gros sans entrer dans la comptabilité de leurs publications ainsi privées de certains revenus.
Après, un journal est toujours vendu deux fois. Au lecteur, mais surtout aux annonceurs. Sauf que si le premier se fait rare, les seconds n'ont que peu d'intérêt à acheter des espaces publicitaires.
C'est là que je ne comprends plus la stratégie de merdification des sites web de presse. Je suis abonné au quotidien régional Le Nouvelliste et n'en peux bientôt plus de leurs news en ligne.
Sur le web, plein de désagréments que l'on ne trouve pas dans la version imprimée:
Pourquoi osez-vous sur le web ce que vous n'osez pas (encore?) dans la version imprimée? Certains sites permettent d'afficher le mode "lecteur" du navigateur, plus propre et sans pub. Parfois ils proposent eux-même cette possibilité de lecture apaisée, aux abonnés par exemple. Rien de cela avec Le Nouvelliste.
J'aime lire. Mais, s'agissant du Nouvelliste en ligne, uniquement avec un bloqueur de pubs efficace. Et le jour où vous préférerez bloquer les bloqueurs plutôt que de soigner vos lecteurs abonnés, je ferai sans Le Nouvelliste.
Ça commence par la fenêtre d’acceptation des cookies, même si je suis connecté à mon compte (qui pourrait stocker mes préférences à ce sujet, non?)
Remarquez le « dark pattern » (interface qui désoriente l'utilisateur dans le but de l’influencer) avec le bouton «Tout accepter» en vert et bien plus vsible que celui pour paramétrer ses choix. Et aucune possibilté de tout refuser d’entrée.
Et pour personnaliser le choix, il y a le choix… Là encore, en désactivant «Fournisseur», cela désactive tous les fournisseurs «partenaires». Encore faut-il le savoir (ou essayer), mais à priori on est découragé et l’on renonce en fonçant vers le bouton vert. Que l’on activera peut-être même par erreur après avoir décoché tous les partenaires… C’est vraiment tordu et désagréable.
Et quand vous avez fini avec tout ça, vous subissez encore un popup pour un éventuel problème de livraison du journal papier. Une info simple à trouver sur le site internet suffirait à supprimer cette fenêtre surgissante, non?
Ensuite, j’ai enfin accès aux articles. Malheureusement salement amochés par la pub.
Avec un bloqueur de pub, c’est beaucoup mieux. Comme abonné, j’attends des articles lisibles.
On peut aussi lire le PDF du journal imprimé, ce qui évite la publicité non désirée. Ah ben non, elle vient même se poser au-dessus du PDF. Double peine pour les abonnés...
Grand Chavalard et Scex Carro par un matin déjà automnal.
Photo traitée RNI Films, profil Fuji Provia 100FVécu de la semaine: réserver des places (et les choisir) dans un train allemand, c’est facile, mais il n’est pas certain que le train arrive à l’heure (il est même à peu près certain qu’il ne sera pas à l’heure).
En France le train arrivera peut-être à l’heure, mais réserver des places dans un TGV alors que l’on a déjà un billet (Interrail) est très très compliqué, et je reste poli.
En Italie, la réservation des places est simple, comme leur choix, et les Frecce sont en général ponctuelles. Il faut par contre valider son billet (comment?) dans les trains régionaux.
En Suisse, pas besoin de réserver ses places et le train arrive à l’heure :-)
La vue du bureau ce matin. Avec un petit téléobjectif, mais la cathédrale de Valère est bien là devant ses montagnes ;-)
Photo avec un profil Fuji Astia 100F de RNI Films.
Là où il y a du fric, ce n’est jamais assez.
«Au cours des 15 dernières années, les actionnaires du groupe TX, propriétaire de Tamedia, ont empoché plus de 670 millions de dividendes sur un bénéfice de 2,2 milliards d’euros tandis que des centaines d’employés étaient licenciés.»
Article original: Restructuration radicale chez Tamedia qui va supprimer près de 300 postes et fermer des imprimeries - rts.ch - Suisse
Assez simple et bien résumé par l’ingénieur agronome François Margot, pour qui les organisations niant l’alarmante baisse de la biodiversité sont comparables aux compagnie pétrolières qui propageaient le climatoscepticisme.
«Si la biodiversité se porte bien alors il n’y a rien à craindre d’une initiative qui veut simplement inscrire sa protection dans notre Constitution fédérale. Et si ce n’est pas le cas, discuter des faits serait plus responsable que de partir en guerre sous l’étendard d’arguments fallacieux.»
Article original: La paysannerie prise en otage - Le Temps
Nouvelle discipline olympique, à pied et à vélo: le parcours du combattant.
Tu peux le corriger, mais sinon ses réponses peuvent être difficiles à vérifier et c’est là tout le problème.
Je lui ai par exemple demandé pourquoi je m’opposais au projet d’homologation des parcours de VTT dans ma commune de Fully. Je sais pourquoi je l’ai fait, mais pas vraiment pour les raisons (même si elles sont crédibles) citées par ChatGPT.
Quand je lui fais remarquer qu’il ne me connaît pas, en fait, il admet et me demande de l’aide (les rôles s’inversent).
Je lui demande alors pourquoi il a inventé une réponse.
Il s’excuse à nouveau et fournit une nouvelle réponse nettement plus convaincante, même si pas à 100% correcte (je n’ai rien contre les parcours dédiés aux vélos électriques, sauf bien sûr si l’on en sacrifie d’autres à leur profit).
L’échange est ici et la morale est que si l’on ne connaît rien à un sujet, mieux vaut ne pas se fier à une intelligence qui ne l’est pas, fût-elle affublée du qualificatif d’artificielle.
Imagine, t’es dans une voiture. Soudain elle sort de la route et fait des tonneaux.
«Une voiture est sortie de la route samedi et a effectué des tonneaux.»
Article original: Crans-Montana: une voiture finit sa course dans les vignes
« Il y a toujours quelque chose à faire. » Le slogan d’une grande surface de bricolage et jardinage s’est rappelé à ma mémoire ce matin. Avec mon père octogénaire, nous avons posé quelques marches d’escalier et une barrière au bout du talus au chalet d’Ovronnaz. Chalet qui est celui de ma belle-famille. C’était sympa et à deux, ça va toujours mieux ;-)
La plupart des étudiants se disent d’ailleurs prêts à se passer de l’avion et à voyager, même au bout du monde, par le train. Mais il faut pour cela que le prix des billets soit moins élevé et peut-être que l’organisation des trains, notamment des trains de nuit, soit plus efficace.
Le prix des billets est une chose, la facilité d’en acheter, aussi pour des voyages internationaux en est encore une autre. Cela doit devenir plus simple et transparent. Je ne veux pas “profiter” d’offres spéciales pour prendre le train, mais pouvoir acheter simplement un billet pour la date à laqzelel j’ai prévu de voyager.
Article original: Les jeunes prêts à faire des efforts au quotidien pour le climat, mais pas à renoncer à l’avion - rts.ch - Suisse
Jolie sortie dimanche dernier sur un parcours assez classique pour moi: Fully - Les Giettes - Champéry par la routes des Rives. Cette dernière, une route forestière plus ou moins bien revêtue est vraiment sympa, pas trop raide, et spectaculaire au pied des Dents-du-Midi.
Un bon souvenir qui a constaté dès le retour au boulot avec le passage par le route de Chippis à Sion: un automobiliste qui tente de forcer le passage au premier rétrécissement “arrêt de bus” où la bande cyclable disparaît (spécialité valaisanne depuis quelques années sur les routes cantonales) et un autre qui veut me faire l’intérieur à l’entrée rond-point plus loin, coup de klaxon en prime, car j’ai osé lui indiquer de rester derrière moi.
Je dis souvent que le problème, ce ne sont pas les cyclistes, motocyclistes, piétons ou autres automobilistes, mais bien les gens. Et certaines d’entre-elles font vraiment n’importe quoi.
Mais la routes des Rives, c’était bien ;-)
Ce la fonctionne vraiment bien avec le plugin pour Wordpress, avec publication des images également. C’est très agréable de pouvoir publier certains de mes notes directement.
Aussi sur micro.blog (sauf pour les images, qui doivent d’abord être publiées en ligne) et je n’ai plus vraiment besoin d’autre éditeur de texte pour cela. Je garde Drafts comme première “inbox” pour les premiers bouts de texte et la capture d’extraits d’articles depuis d’autres sites internet (navigateur Safari seulement), mais pour le reste plus vraiment besoin d’iA Writer ou Ulysses.
Pour être franc, il n’y a pas de plateforme sociale centralisée éthique sous le capitalisme. Ni les plateformes que nous avons aujourd’hui, ni celles qui pourraient voir le jour demain.
Lorsque nous essayons de quitter leurs jardins clos, il devient plus difficile de rester en contact avec les personnes que nous aimons. Avons-nous la capacité et l’énergie d’essayer de combler ce fossé par nous-mêmes?
Article original en anglais: How social networks prey on our longing to be known (Comment les réseaux sociaux exploitent notre désir d’être connus)
Par le passé, alors que je travaillais encore comme journaliste, j’ai souvent voulu expérimenter les nouveautés (le Twitter des débuts, les blogs Wordpress, Blogger, Pinterest, Facebook, Flickr pour les plus célèbres) et créé des comptes sur de nombreuses plateformes, avant de les fermer ces dernières années.
Au revoir Facebook, Twitter, Flickr, Linkedin, Youtube et Instagram parmi d’autres. Certaines ont été remplacées par des pendants plus libres: Pixelfed pour les images, Peertube pour les vidéos et Mastodon aussi bien sûr. Mais je garde surtout mes blogs, comme bikinvalais ou micro.faiss.com et cette petite expérience avec Listed, qui me permet de publier directement depuis le logiciel de notes Standard Notes.
Avec d’autre plateformes, je pense ici à Whats’app, c’est plus compliqué et la phrase “lorsque nous essayons de quitter leurs jardins clos, il devient plus difficile de rester en contact avec les personnes que nous aimons”, résonne en plein. Certes, une parti de ma famille a basculé sur Signal. Mais pour les autres, les clubs sportifs et autres groupes d’amis, c’est plus difficile. On peut essayer de les inciter à changer discrètement, mais sans trop insister non plus. Qui suis-je pour exiger et poser des ultimatums?
Et puis il y en a d’autres où c’est possible, mais difficile, justement en raison de “notre désir d’être connus”. Je pense ici à Strava, une plateforme qui est devenue un vrai réseau social de sportifs et personnes actives. J’y suis depuis plus de dix ans et m’y étais inscrit car c’était d’abord un carnet d’entraînement bien pratique qui tenait à jour mes progrès et performances sur des parcours “témoin”. Plus besoin de noter ses progrès et meilleurs temps dans un carnet ou une feuille de calcul. Strava faisait tout cela tout seul. Et comparait avec d’autres sportifs passés au même endroit. Avec un classement. Votre liste de performances dans le top 10 ou les KOMs (King of the mountain) vous posaient là, bien visible au yeux de vos “amis” pouvant vous féliciter par la distribution de “kudos”. Alors que je coordonnais la petite équipe de rédacteur du magazine disparu “Vélo Romand” je voulais certainement aussi montrer que je “roulais” et que je m’estimais légitime à écrire sur le vélo.
Bref, Strava ne fait pas exception. Tous les ingrédients pour une utilisation addictive sont réunis: partage de ses activités, de sa vie, recherche de “likes”, notifications et difficulté à quitter une “communauté” de centaines de personnes construite au fil des ans par cette compétition permanente avec vous-même, vos “amis” et des inconnus. Le tout permet à la plateforme de récolter des données, énormément de données, vos données, et de le vendre.
J’ai souvent songé à quitter Strava, avant d’y renoncer et d’y redoubler d’activité, pour toutes les raison qui font que cela est difficile d’y renoncer. Pensez donc, quatre pages de KOMs et plus de 20 de “Top 10”! Quel palmarès au vu de tous.
C’est oublier ce que je répète souvent: une compétition, c’est tout le monde au départ, avec un dossard, le même jour, dans les mêmes conditions. Mais il est tout de même difficile de renoncer à cette flatterie de l’ego que représente un KOM, même acquis par une tempête de vent dans le dos…
Ces derniers jours, j’ai passé toutes mes activités, quelques milliers, en “privé”. Cela m’a exclu des classements publics et le plus dur est certainement fait avant de boucler mon compte. “Strava” vient du suédois “sträva”, qui signifie “s’efforcer de, lutter, se battre” et implique un certain effort. Même pour y renoncer.
Cette fois, je crois que c’est en bonne voie.
«Dans une réaction courroucée au verdict de la Cour européenne des droits de l’homme, l’UDC exige que la Suisse sorte du Conseil de l’Europe. «Les juges de Strasbourg sont les marionnettes des activistes.»
Les “activistes” qui sont 👉 2500 femmes de plus de 64 ans. Il n’y a plus de jeunesse…
Article original: L’UDC demande le retrait de la Suisse du Conseil de l’Europe - Le Temps
[...] le principal intéressé a expliqué que «son identité a, selon lui, été usurpée.»
Mais aussi:
Avec un compte anonyme, aujourd'hui supprimé, ce candidat au Conseil général de la capitale cantonale aurait lancé des appels à la haine et à la violence.
Usurper d'une identité anonyme pour nuire à la personne en question, c'est tout de même assez recherché comme stratagème...
Article original: «J’ai besoin de frapper quelque chose»: les politiciens neuchâtelois réagissent aux propos d’un jeune UDC